Le dom' métronome et sa soumise aux jolis seins mais pas du tout aussi beaux que les Vôtres !! :p

J'étais dans une position particulière, les fesses offertes à Vous et Votre badine. Je sentais les regards mais tentais de les ignorer. Entre deux salves de coups, de nouveaux visiteurs arrivèrent. Un maître et sa soumise; nous les avions vus en bas auparavant. Je les avais entendus dans la pièce adjacente au salon tandis que j'étais à quatre pattes à Vos pieds. Cela dit, je n'étais pas très sûre de ce que j'entendais. On aurait dit un métronome.

Je les vis donc arriver sur ma droite. Je pouvais les voir, ils étaient tout proche, presque face à moi. Elle s'agenouilla mais il lui fit un signe et la soumise passa entre le miroir et moi pour se diriger vers Vous. Je n'entendis pas tout ce qu'elle Vous dit. Je crois que Vous lui avez répondu oui. Elle s'installa alors à genoux, face à moi. Je fus très surprise et trouvais d'abord le couple sans gêne. J'étais "occupée" et elle s'installait juste à quelques centimètres de mon visage. Les seins pendant au dessus du cuir, ses mains sur la surface.

Je compris rapidement que c'était la demande qui Vous avait été faite et je m'installais mieux pour observer ce joli spectacle *rires*  Je me demandais si sa position attendait une réponse quelconque de ma part. Mais je n'avais reçu aucune consigne particulière, et je ne touche pas les étrangers. Je préférais m'amuser de cette nouveauté en regardant la poitrine face à moi secouée par les acoups répétés et très réguliers de son maître. J'étais très amusée mais pas forcément pour les bonnes raisons. J'étais très amusée par la manière que ce maître avait d'utiliser sa badine, car il me semble que s'en était une. Je l'aurais bien surnommé "le dom' métronome". Il était tellement régulier; elle, ne semblait pas tellement réagir. A sa place, j'aurais ri. Mes pensées étaient régulièrement interrompues par le choc de la badine sur mon cul. Les pensées se mélangeaient parfois mais me montraient surtout le contraste entre sa badine et la Vôtre. C'était quelque chose d'assez fascinant. Peut-être que cela explique en partie ma résistance ce soir-là. Je ne sais pas vraiment mais je pensais à Vous et comment je préfère largement Vos coups qui me font frissonner et crier parfois que l'ennuie qui me faisait face.

Le dom métronome s'interrompit à un moment et appela sa soumise.

Tous deux se redirigèrent vers la pièce voisine et le grand lit. Je me demandais ce qui avait motivé ce soudain changement. Je m'attendais alors à voir ou entendre surtout du changement. Que nenni. Métronome again.